DANIEL BÉLANGER PRÉSENTE SON NOUVEL ALBUM « MERCURE EN MAI »
À LA SALLE WILFRID-PELLETIER LE 16 JUIN DANS LE CADRE DES FRANCOS DE MONTRÉAL
EN SPECTACLE AU MTELUS LES 16 ET 17 MAI PROCHAIN
Montréal, le 14 octobre 2022 – L’album tant attendu de Daniel Bélanger « Mercure en mai » est disponible partout dès aujourd’hui via Secret City Records.
Daniel Bélanger est heureux d’annoncer les premiers spectacles de cette nouvelle offrande. Deux dates au MTelus, les 16 et 17 mai constitueront sa rentrée montréalaise au printemps. Les concerts au MTelus sont une présentation de Bonsound, alors qu’un mois plus tard les Francofolies de Montréal accueilleront l’auteur-compositeur-interprète le 16 juin à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts. Les billets seront en vente dès vendredi (14 octobre) à midi. Achetez vos billets ICI.
Le premier extrait « J’entends tout ce qui joue (dans ta tête) » enflamme la province depuis sa sortie fin août ! La pièce a été #1 des ventes des chansons francophones deux semaines d’affilée et l’extrait est toujours en réaction forte au palmarès BDS.
Daniel Bélanger vient également de faire paraître un recueil de poésie intitulé « Poids lourds » aux éditions des Herbes rouges, disponible ICI.
Par une froide matinée de février 2021, au cœur de la énième vague pandémique, Daniel Bélanger déambulait sur une rue du quartier Mile-Ex. Les mains au fond des poches, la tête dans les épaules, il était perplexe devant les mille et une conséquences de l’urgence sanitaire et en particulier devant l’impossibilité de s’asseoir au chaud dans un café, comme il aime tant le faire.
Après un arrêt à un comptoir où il a ses habitudes, où il venait de commander un latte pour emporter, il a reconnu quelqu’un parmi un petit groupe de badauds agglutinés autour d’un banc public. Salutations, présentation aux uns et aux autres, début de discussion : Daniel Bélanger ne le savait pas encore, mais il venait de se faire de véritables amis, avec qui, à coup d’échanges autour d’un gobelet fumant, il a traversé les semaines de confinement qui s’amorçaient.
On pourrait dire que chacun des dix titres de Mercure en mai provient d’un tel hasard, comme un fruit de l’inattendu. Des mots attentifs aux étonnements, au soudain, à ces « petites Californies » qui dorment au fond de nous ; des musiques naviguant entre le minimal et le luxuriant, avec motifs en boomerangs et passages secrets : tout ici raconte l’impromptu, ce qui échappe aux agendas et à la raison.
À ses côtés, une équipe légère formée de Guillaume Doiron (basse) et Robbie Kuster (batterie), qui ont fait quelques arrêts au studio de Daniel avant que Pierre Girard n’assure le mixage de ce Mercure en mai hypnotisant, la bouffée d’oxygène dont nous avions toutes et tous besoin.
Daniel Bélanger n’a plus besoin de présentation. Un auteur-compositeur-interprète adoré du public avec plus de dix albums derrière lui, une multitude de Félix remportés et de Disque d’Or et de Platine attribués à son œuvre, Bélanger poursuit sa création librement. Récipiendaire du Félix pour l’album instrumental de l’année au dernier gala de l’ADISQ, le public a pu le voir lors de récents concerts dans quelques festivals cet été.