Daniel Bélanger – «J’entends tout ce qui joue (dans ta tête)»
DANIEL BÉLANGER ANNONCE LA SORTIE DE SON NOUVEL ALBUM « MERCURE EN MAI »
DISPONIBLE LE 14 OCTOBRE VIA SECRET CITY RECORDS
ÉCOUTEZ LE PREMIER EXTRAIT
« J’ENTENDS TOUT CE QUI JOUE (DANS TA TÊTE) »
Montréal, le 24 août 2022 – L’auteur-compositeur-interprète Daniel Bélanger annonce aujourd’hui un tout nouvel album intitulé « Mercure en mai », disponible le 14 octobre prochain via Secret City Records. Quelques secondes du premier extrait « J’entends tout ce qui joue (dans ta tête) » ont été dévoilées par Daniel lui-même via ses réseaux sociaux. En moins d’une semaine, l’extrait a été écouté plus de 100 000 fois avant même sa sortie officielle.
La chanson est disponible dès maintenant dans son entièreté sur toutes les plateformes d’écoutes.
« Se sentir tellement près de l’autre que l’on puisse même
entendre ce qui joue dans sa tête… » – Daniel Bélanger
Par une froide matinée de février 2021, au cœur de la énième vague pandémique, Daniel Bélanger déambulait sur une rue du quartier Mile-Ex. Les mains au fond des poches, la tête dans les épaules, il était perplexe devant les mille et une conséquences de l’urgence sanitaire et en particulier devant l’impossibilité de s’asseoir au chaud dans un café, comme il aime tant le faire.
Après un arrêt à un comptoir où il a ses habitudes, où il venait de commander un latte pour emporter, il a reconnu quelqu’un parmi un petit groupe de badauds agglutinés autour d’un banc public. Salutations, présentation aux uns et aux autres, début de discussion : Daniel Bélanger ne le savait pas encore, mais il venait de se faire de véritables amis, avec qui, à coup d’échanges autour d’un gobelet fumant, il a traversé les semaines de confinement qui s’amorçaient.
On pourrait dire que chacun des dix titres de Mercure en mai provient d’un tel hasard, comme un fruit de l’inattendu. Des mots attentifs aux étonnements, au soudain, à ces « petites Californies » qui dorment au fond de nous ; des musiques naviguant entre le minimal et le luxuriant, avec motifs en boomerangs et passages secrets : tout ici raconte l’impromptu, ce qui échappe aux agendas et à la raison.
À ses côtés, une équipe légère formée de Guillaume Doiron (basse) et Robbie Kuster (batterie), qui ont fait quelques arrêts au studio de Daniel avant que Pierre Girard n’assure le mixage de ce Mercure en mai hypnotisant, la bouffée d’oxygène dont nous avions toutes et tous besoin.
Daniel Bélanger n’a plus besoin de présentation. Un auteur-compositeur-interprète adoré du public avec plus de dix albums derrière lui, une multitude de Félix remportés et de Disque d’Or et de Platine attribués à son œuvre, Bélanger poursuit sa création librement. Récipiendaire du Félix pour l’album instrumental de l’année au dernier gala de l’ADISQ, le public a pu le voir lors de récents concerts dans quelques festivals cet été.
« Notre travail prend tout son sens grâce aux artistes : des passionnés, communicateurs d’émotions peignant des tableaux sonores qui nous font voyager. À nous de les exposer et les faire rayonner! »