La distance est trop longue, extrait tiré du deuxième album d’Alicia Deschênes, est un reflet électro-pop dansant d’un amour impossible. Les paroles habilement tissées par la jeune auteure-compositrice-interprète nous permettent de rêver à un futur qui est rattrapé par la réalité au refrain.
Pour Les mauvaises langues, l’album sorti en février 2021, Alicia s’est de nouveau alliée à Daran à la réalisation. Tout en conservant ses mélodies de guitare, sa voix touchante et ses profondes paroles, l’auteure-compositrice-interprète évolue cette fois-ci vers un son plus pop et rythmé.
La collaboration entre l’artiste et son producteur, séparés malgré eux d’un océan pendant la conception de l’album, laisse place à de très belles anecdotes. Alicia a dû transformer son garde-robe en studio d’enregistrement. Après quelques essais, l’intégralité des voix principales ont été captées à partir du placard. L’authenticité de cette adaptation ne fait que rendre l’ensemble de l’œuvre plus captivant.
« Notre travail prend tout son sens grâce aux artistes : des passionnés, communicateurs d’émotions peignant des tableaux sonores qui nous font voyager. À nous de les exposer et les faire rayonner! »