ANNA VALSK PRÉSENTE L’EXTRAIT « JE N’VEUX PAS QUE TU T’EN AILLES » ET SON NOUVEL ALBUM « MORPHOLOGIES »
Je n’veux pas que tu t’en ailles (Radio Edit)
Montréal, le 17 mars 2023 – Anna Valsk lance Morphologies, un premier album ample et lumineux, dont l’écoute nous traverse comme différents vents et différents soleils. Avec cet ensemble de 11 pièces atmosphériques, l’auteure-compositrice-interprète et multi-instrumentiste invite pour la première fois le public à pénétrer dans son univers créatif complet.
Anna Valsk est l’entité qui sert de véhicule à la démarche artistique d’Ariane Vaillancourt. Ce cryptonyme (par lequel la musicienne portant plusieurs autres chapeaux a récemment choisi de se nommer) n’est pas un déguisement. Loin de là, il est sa manière de mieux se montrer, d’aller à l’essentiel de ce qui la défini pour toucher les gens par la musique. Sur cet album, l’artiste y poursuit la recherche de cohésion voix-musique qui l’avait déjà fait se démarquer, de même que les explorations orchestrales et électroacoustiques qui sont au cœur de ses arrangements bien ficelés. Sous de luxuriantes couches de cuivres et de cordes auxquelles adhère le synthétique, Anna Valsk offre des chansons aux formes libres et débordantes.
Le lancement de Morphologies – un projet mené de longue haleine qu’Anna peut enfin commencer à déployer dans toute son étendue – lui permet de compléter de 5 nouveaux titres les 2 EP qui sont parus à l’hiver 2022 ainsi qu’au printemps dernier. Morphologies est un album entièrement autoproduit et autoréalisé grâce auquel la musicienne féminine se met elle-même créativement au monde, pour se permettre d’assumer pleinement ses idées en les concrétisant jusqu’au bout. En appuyant le concept de l’album sur le cycle des saisons, l’artiste s’est offert un beau prétexte pour concevoir l’album au rythme organique d’une année complète de création et d’enregistrement. Cette intention se traduit sur Morphologies par une approche évolutive des textes, de la composition et des instrumentations : de l’hiver aux vastes paysages sonores, en passant par les balades décloisonnées et ondoyantes de l’été, jusqu’au dépouillement cru et enfin dégagé de l’automne.
Avec Morphologies, Anna Valsk fouille ce qui nous anime, nous constitue, nous altère. Avec l’appui du parolier Jonathan Harnois, elle livre des textes libres qui parlent avec candeur d’états émotionnels, relationnels et même somatiques. Empruntant des mots simples, catalyseurs, fragiles, paradoxaux, la poésie d’Anna Valsk recèle un mystère qui résonne dans le corps. Indissociable du son d’Anna Valsk sur Morphologies, il y a les harmonies vocales texturées et le drum orchestral nuancé de Philippe Lussier Baillargeon, qui signe avec elle la co-réalisation. Le guitariste Jean-Sébastien Williams complète le trio avec sa versatilité et son jeu incarné. L’album a été mixé par Pierre Girard et quelques enregistrements ont d’ailleurs été faits au Planet Studios, mais la plupart proviennent du studio personnel d’Anna Valsk, l’Atelier 2, situé à St-Alphonse-Rodriguez dans Lanaudière.
Morphologies porte aussi la contribution de plusieurs autres généreux musiciens (Jean-Nicolas Trottier, arrangement de cuivres ; quatuor Eska, cordes ; Charles Robert, basse ; Alex Dodier, sax ; Jean-Luc Huet, guitares, synthés).
Afin de souligner en grand la sortie de ce premier album, Anna Valsk offrira ce samedi 18 mars un spectacle à Sherbrooke, au Boquébière. Elle foulera ensuite les planches du Verre bouteille à Montréal, le mardi 28 mars prochain.
Pour marquer sa naissance créative, Anna dévoile son visage épanoui avec le nouveau clip « Je n’veux pas que tu t’en ailles » de son plus récent morceau – porté par une pop électro-organique, une poésie franche et des visuels captivants de couleurs (réalisation Marc-André Dupaul). D’ailleurs ce nom d’Anna Valsk exprime bien, par sa beauté mystérieuse, tout le raffinement qui vient avec le produit sonore qui nous est présenté sur Morphologies, tout comme c’est le cas du langage visuel qui l’accompagne (photographies, vidéoclips, sérigraphies, portrait-documentaire).
« Notre travail prend tout son sens grâce aux artistes : des passionnés, communicateurs d’émotions peignant des tableaux sonores qui nous font voyager. À nous de les exposer et les faire rayonner! »