Montréal, le 23 novembre 2021 – C’est l’envie d’assumer sa propre voie, le fait de vivre sa vie telle qu’on l’entend. C’est cette intuition dans notre tête et notre corps qui nous habite depuis que nous sommes tout petits. Celle qui dicte nos rêves et nos envies. L’instinct pur. C’est aussi la volonté que l’on ressent lorsque c’est le temps de foncer. C’est anticiper et contourner les multiples embûches auxquelles nous faisons et ferons face.
J’ai un plan tu voulais l’entendre J’l’avais façonné avant J’l’avais commencé au bout J’aurais pas su autrement
Dans «Baisser les yeux», Lucill nous transporte dans un univers de type Truman show qui fait référence à sa ville natale. Un lieu dans lequel il ne se sentait pas à sa place et où tout lui semblait formaté. L’image d’un faux ciel y fait référence dans le vidéoclip de la chanson. C’est donc un clin d’œil à son passé chibougamois ainsi qu’à son parcours tant artistique que personnel. C’est surtout la prise de conscience qui est évoquée dans la chanson. C’est l’idée de s’éloigner d’un mode de vie standardisé dans le but de devenir le seul et l’unique maître de celle-ci.
Si je pouvais baisser les yeux Si j’essayais trop bien trop peu Je disparais gazer les feux qui restent
Enregistré en majeur partie au studio Pierre Marchand à Montréal, Lucill (Raphaël Bussières) a tout d’abord écrit les paroles et la musique et s’est entouré par la suite de Francis Mineau (Co-réalisation, Batterie, Percs, Synth (Malajube)), Jason Kent ( Guitares (The Dears, Kandle)), Lysandre Ménard (Piano, Synth (Lysandre, Klo Pelgag)), Jay Essiambre (Choeurs (Elisapie, La Faune)) et David Marchand (Pedal Steel (Zouz, Mon Doux Saigneur)). Lucill s’est entouré d’une équipe qu’il considère exceptionnelle avec laquelle il a pu enregistrer un album à la hauteur de ses ambitions.
« Notre travail prend tout son sens grâce aux artistes : des passionnés, communicateurs d’émotions peignant des tableaux sonores qui nous font voyager. À nous de les exposer et les faire rayonner! »