Jessy Benjamin grandit avec du Bon Jovi, inculqué par sa mère, qu’il chante dans un anglais improvisé. Remarquant son talent, c’est à ce moment que sa mère l’incite à s’inscrire à un concours qui changera sa vie. Après avoir marqué les esprits avec des chansons complexes et réfléchies telles que « Party de gars » et « Les 5 doigts de la main », il sombre dans l’enfer de la drogue qu’une célébrité précaire laissait malheureusement présager. Mais, tel un phénix renaissant de ses cendres, le voici de retour. Comme un bon samuraï du showbusiness, après les écoles, festivals, mentorats, ateliers et rites de passage de la vie musicale québécoise, on retrouve un Jessy Benjamin en pleine forme qui fait la paix avec l’amour avec une pop de chambre maturée par les déboires de la vie.