Olivier Faubert, Thaïs – «Mercure»

DEUXIÈME EXTRAIT DE SON PREMIER ALBUM
POUR NE PAS MOURIR EN HIVER QUI PARAÎTRA À L’HIVER 2024

Montréal, le 22 septembre 2023 — Après avoir levé le voile sur la pièce Perséides au printemps dernier, voilà qu’Olivier Faubert frôle de nouveau les astres avec Mercure, deuxième avant-goût de son premier album Pour ne pas mourir en hiver dont la sortie est prévue à l’hiver prochain. Fruit d’une collaboration avec l’autrice-compositrice-interprète Thaïs, ce nouvel extrait nous plonge en plein cœur d’un récit amoureux effrité, prenant ses aises dans un groove pop-rock irrésistible imprégné d’influences musicales des années 70 et 80.

Sous les métaphores astrologiques de Mercure se révèle un amour déchiré : Quand les planètes s’alignent, mais que les étoiles sont contre nous, comment justifier son départ? Une fois seul·e, de l’autre côté de la distance, pourquoi soudainement avoir envie de revenir? Les astres avaient-ils raison? C’est ce qu’Olivier Faubert et Thaïs nous racontent dans cette histoire d’amour tout en douceur.

Moi j’ai peur de l’ennui
Qui s’endormait, encore où les draps sont froids
Comme le vide de la nuit
Qui me mord là où ton corps se collait à moi

Et si mercure est en rétrograde
Qu’avec le temps on cesse de croire au mirage
Que les étoiles abandonnent
Il faudra qu’on rayonne
Comme au premier baiser

« Ça faisait longtemps que j’avais envie de collaborer avec Thaïs et la chanson Mercure était vraiment parfaite pour qu’elle y dépose sa voix. Musicalement, je crois que c’est ma chanson favorite sur l’album. On a vraiment eu beaucoup de plaisir à créer son univers romantique avec mes musiciens en studio. » — Olivier Faubert

Pour ce nouveau titre, Olivier Faubert s’est entouré de Benoit Massé et Julyan à l’écriture du texte et de la musique, alors que les arrangements, rappelant par moments le côté planant de Dreams de Fleetwood Mac et la sensibilité des vieux classiques de la chanson française, ont été imaginés et réalisés par Dominique Plante.

Réalisé par Benoit Massé en collaboration avec Guillaume Rousseau à la direction de la photographie, le vidéoclip de Mercure nous transporte dans un petit univers de fond de cour en banlieue où la métaphore devient charnelle, incarnée par une constellation de pommes qui se fait dévorer par le temps. Entre les moments de flottaison et l’abattage des possibles futurs, les amoureux tentent de retrouver leur symbiose.

Le public aura l’occasion de découvrir l’auteur-compositeur-interprète sur scène le 3 octobre prochain au Quai des Brumes à Montréal à l’occasion d’un spectacle en plateau double avec Claudie Létourneau.